« Ce résultat témoigne de la profonde déception chez nos travailleurs et travailleuses quant à la non-reconnaissance du travail du personnel de soutien par le gouvernement. Celui-ci a choisi d’ignorer les problématiques d’attraction et de rétention pour plusieurs catégories d’emploi qui sont parmi les moins bien rémunérées du secteur », d’expliquer Richard Delisle, président du secteur Éducation du SCFP.
Les syndicats veulent intensifier leurs efforts auprès de leur employeur respectif pour améliorer les conditions de travail localement, une responsabilité que le gouvernement a négligée lors des négociations.
« Nous entreprendrons une analyse approfondie de cette négociation et commencerons dès maintenant à nous préparer pour la prochaine. Nous remercions tous les membres pour leur engagement et leur détermination à défendre nos intérêts communs. Ensemble, nous continuerons à travailler pour un avenir où le travail du personnel de soutien sera pleinement reconnu et valorisé », conclut Marie-Claude Arbour, conseillère syndicale du SCFP.
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