Selon la partie syndicale, le représentant de l’employeur à la table de négociations est de mauvaise foi. « Le représentant de la municipalité joue au yoyo en revenant constamment sur les offres qu’il nous a déposées. Il oublie même les propositions qu’il nous a faites, » a déclaré Caroline Labelle, conseillère syndicale au SCFP.
Cette apparence de négociation de mauvaise foi risque de compromettre les bonnes relations dans le climat de travail établies depuis des années dans cette municipalité, située à quelques kilomètres à l’est du mont Tremblant et qui compte près de 720 résidants.
Compte tenu du blocage actuel, une demande de conciliation a été déposée au ministère du Travail par la municipalité.