« En plus de briser un autre plafond de verre, nous sommes persuadés que Mme Otis saura donner une voix aux femmes du Québec sur des enjeux importants, notamment sur l’équité salariale, et être attentive aux réalités des femmes en matière de santé et de sécurité du travail depuis trop longtemps négligées. Il est temps que l’on s’occupe des femmes », déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer.
« Son expérience en tant que médiatrice est un atout supplémentaire et, sans nul doute, permettra d’améliorer le dialogue tout en favorisant les consensus au sein du conseil d’administration de la CNESST composé entre autres de représentants syndicaux et patronaux », conclut le président de la FTQ.
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