La FNEEQ estime que ses nombreuses interventions ainsi que son travail en concertation avec certains partenaires auront convaincu le ministre responsable de l’Administration gouvernementale et de la Révision permanente des programmes, Martin Coiteux, de revoir le projet de loi.
« Nous espérons que cette décision constitue une première étape et que le gouvernement reverra ses intentions en ce qui a trait aux compressions imposées dans le réseau des universités », indique Sylvain Marois, vice-président du regroupement université. « Nous poursuivrons nos efforts et nous continuerons à exercer la pression nécessaire afin que le gouvernement réalise le tort que pourraient causer des compressions additionnelles », assure-t-il.