« Les travailleurs sont outrés de voir ces personnes vulnérables laissées pour compte encore une fois. Il faut que la population se réveille et ajoute leur voix à la notre pour dénoncer les compressions qui mettront en danger le bien être et la sécurité des résidants ainsi que des travailleurs », a expliqué Simon Beaulieu, président du SCFP 3247.
Réunis en assemblée générale mercredi, les membres du SCFP 3247 ont voté à l’unanimité pour un plan d’action afin de mettre un arrêt à ces compressions qu’ils jugent irresponsables.
Déjà en février, inquiets des répercussions sur la population du sous-financement qu’ils desservent, les employés syndiqués du CSSS Jardins-Roussillon se sont présentés en front commun pour questionner le conseil d’administration de l’Agence régionale de la santé et des services sociaux de la Montérégie.
« Visiblement ça ne s’est pas amélioré. Nous sommes franchement désolés de voir à quel point la population fera les frais de cette gestion déficiente », d’ajouter le président du Syndicat.