La présidente nationale d’Unifor, Lana Payne, s’est dite déçue que l’employeur n’ait pas réussi à faire bouger les choses au cours des deux derniers jours. "Cette impasse est extrêmement regrettable, mais nos membres restent déterminés à obtenir un accord équitable."
Un avis de grève de 72 heures a été officiellement déposé le 18 octobre et, malgré des efforts de négociation soutenus, aucune résolution n’a été trouvée avant l’échéance de samedi 23 h 59.
Le directeur québécois d’Unifor, Daniel Cloutier, a souligné la persévérance du comité de négociation envers le dialogue constructif et a déclaré : "Nous avons négocié de bonne foi jusqu’au dernier moment, mais nous ne pouvons pas permettre que les droits des travailleuses et travailleurs soient compromis. Nous restons ouverts à la discussion et espérons que l’employeur reconsidérera sa position pour le bien de tous."
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