St-Hubert, le 6 mars 2008 – Les travailleuses et les travailleurs des parcs nationaux de la Montérégie, soit le Parc national de la Yamaska, à Granby, le Parc national du Mont-St-Bruno, à St-Bruno et le Parc national des Îles de Boucherville, à Longueuil, seront invités, au cours de la semaine prochaine, à se prononcer sur l’entente de principe intervenue entre le Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ) et la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) dans le cadre du renouvellement de leur convention collective.
La présidente régionale du SFPQ, Denise Boileau, rappelle que le Québec compte 22 parcs nationaux, où travaillent environ 1200 personnes. Une entente de principe a été conclue entre le SFPQ et la Sépaq, en janvier 2008, et ce, à la suite de plusieurs actions menées par les membres du Conseil de négociation, afin de forcer l’employeur à négocier sérieusement.
Le SFPQ rappelle que les travailleurs et les travailleuses des parcs nationaux sont sans contrat de travail depuis 2005, tout comme leurs collègues des réserves fauniques pour qui une entente de principe est également intervenue en janvier dernier.
La présidente régionale du SFPQ invite les travailleuses et les travailleurs des trois parcs nationaux de la région de la Montérégie à se présenter en grand nombre à leur assemblée générale, où l’entente de principe leur sera présentée et expliquée. Par la suite, les membres du Syndicat seront appelés à se prononcer. Le SFPQ dévoilera les résultats globaux de la tournée de vote auprès des 22 parcs nationaux dans la semaine du 24 mars prochain.