« Nous sommes satisfaits de cette réintégration. Maintenant, la balle est dans le camp de la direction de la CNESST pour qu’elle s’assure que cela ne puisse plus se reproduire. Il est important que les représentants des travailleurs puissent s’exprimer librement dans les comités de travail, sans crainte de représailles de la part de leurs employeurs », fait valoir le directeur québécois des Métallos, Alain Croteau.
Plus tôt dans la journée, il s’était rendu en Abitibi pour participer à une manifestation en appui à André Racicot, en compagnie de confrères et consoeurs de la mine Westwood ainsi que de syndicalistes de la région.