« Pour la FTQ, le droit de s’exprimer et de manifester est un droit fondamental qui est protégé par nos chartes des droits et libertés. Ce dont nous avons été témoins ces dernières semaines, particulièrement à Ottawa, ne correspond ni aux valeurs ni aux revendications de la FTQ. Réunis en Conseil général, les délégués et déléguées ont dénoncé à l’unanimité les paroles, les écrits sur les réseaux sociaux, les gestes d’intimidation, méprisants et violents à l’endroit des commerçants, des personnes racisées, des personnes sans-abri, et tout particulièrement à l’endroit des journalistes. Les médias doivent pouvoir exercer leur travail sans contraintes ni menaces. L’information est un élément essentiel et non négociable à une saine démocratie », déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer.
Par ailleurs, nous savons tous que notre réseau de la santé est mis à mal. « Comme société aux prises avec une pandémie, nous avons le devoir de soutenir le travail et l’engagement des travailleurs et travailleuses de la santé qui, jour après jour, depuis maintenant deux années sont au travail pour sauver des vies. Ne soyons pas égoïstes, nos énergies doivent être consacrées à rester solidaires et à faire tout en notre pouvoir pour protéger ceux et celles que nous côtoyons pour enfin sortir de cette pandémie », ajoute le secrétaire général, Denis Bolduc.
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