« Nous l’avons déjà dit et le répétons, l’exploitation du sous-sol québécois doit se faire dans le respect des populations locales, de l’environnement, cela tout en recevant notre juste part des redevances pour le plus grand bien de la société québécoise », a déclaré le président de la FTQ, Daniel Boyer.
« Pour la FTQ, il importe de développer de façon intelligente les richesses du Québec. En ce qui a trait à la filière pétrolière, nous croyons plus que jamais que le Québec doit avoir comme objectif l’atteinte de la plus grande autonomie possible par rapport au pétrole, donc de réduire notre dépendance aux hydrocarbures », de poursuivre le président de la FTQ.
« Il importe pour le gouvernement d’agir en toute transparence et, dans le cas d’exploitation, Québec doit confier au Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE) la mission d’analyser de façon objective tout développement d’hydrocarbures sur l’île d’Anticosti et s’engager à se plier à ses recommandations. Il importe ici de bien étudier les impacts sociaux, économiques et environnementaux d’une telle filière », a conclu Daniel Boyer.