« La CSQ a toujours soutenu le gouvernement du Québec à poursuivre ses démarches dans le but d’obtenir les données qui concernent le Québec afin de créer son propre registre d’armes d’épaule. Nous nous réjouissons que la Cour suprême entende l’appel. Le gouvernement Harper, sur ce sujet comme sur bien d’autres, fait totalement fausse route et nous condamnons de façon non équivoque son obstination à poursuivre en ce sens », affirme la présidente de la CSQ, Louise Chabot.
Trop d’événements dramatiques se sont produits au Québec, particulièrement dans le milieu de l’éducation, pour que la population demeure indifférente. Cette demande est d’autant plus importante qu’elle s’inscrit dans une approche plus globale pour lutter contre toute forme de violence, notamment la violence à l’école, l’intimidation et la violence faite aux femmes.