« Les impacts de ce sous financement chronique sont palpables », a affirmé Marie- Josée Bourget, présidente du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO). « Dans certains départements, l’offre de cours diminue, ce qui a un impact important pour des personnes chargées de cours qui ont de moins en moins de travail », a-t-elle poursuivi.
« Nous ne sommes pas contre l’idée d’investir dans l’immobilier, notamment dans un campus unifié. Cependant, il ne faut pas oublier qu’une université fonctionne surtout avec des travailleuses et des travailleurs passionnés et qu’il faut réinvestir massivement dans les ressources humaines ainsi que dans l’offre de cours et de programmes », a enfin soutenu Marie-Josée Bourget.
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