« Il y a trop de cas de Québécois et Québécoises qui se retrouvent à payer des montants astronomiques pour sauver leurs animaux de compagnie, en pleine crise du coût de la vie. Il faut non seulement plafonner les prix, mais s’assurer que les cliniques vétérinaires ne passent pas aux mains de multinationales sans scrupules donc le seul objectif est de maximiser les profits », soutient Vincent Marissal, député de Rosemont et responsable solidaire en matière d’administration gouvernementale et pour le Conseil du trésor.
C’est suite aux nombreuses enquêtes parues dans les médias récemment que Québec solidaire appelle à une réflexion sur la nécessité d’une régulation plus forte du secteur vétérinaire, afin de protéger les consommateurs, les animaux et l’indépendance des professionnels. « On a vu des cas où les gens se voient contraints d’abandonner leurs animaux faute de moyens pour les soigner. Personne ne devrait avoir à faire ce choix déchirant ! », ajoute M. Marissal.
Ce que Québec solidaire demande :
– L’encadrement des frais par l’Ordre des vétérinaires :
– Légiférer pour que les cliniques vétérinaires au Québec soient la propriété de vétérinaires membres de l’Ordre des vétérinaires du Québec et non de multinationales
– Donner le pouvoir à l’Ordre des vétérinaires de radier des cliniques comme en France
– Resserrer les normes déontologiques en ce qui a trait au mode de rémunération des vétérinaires
Un message, un commentaire ?