« Nous envoyons ainsi un message clair au Conseil du trésor et à la rectrice, Mme Magda Fusaro, à savoir que l’offre salariale qui est sur la table n’est pas suffisante. Nous voulons continuer à contribuer à l’essor de notre institution, mais pour garder les membres des différents groupes de travail, que ce soit les professionnels, les techniciens, les employés du groupe bureau et les employés aux métiers et services, il faut les traiter convenablement et cela passe par des salaires décents », de déclarer Louisa Cordeiro, présidente du SEUQAM.
Le 3 juillet dernier, les membres du SEUQAM avaient voté pour exercer des moyens de pression pouvant aller jusqu’à cinq jours de grève, lesquels ont déjà été exercés.
Les employés de soutien de l’UQAM sont sans convention collective depuis le 31 mai 2017.
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