Martine Ouellet a fait valoir : « La crise climatique est commencée et c’est l’État qui peut agir pour ralentir la tendance. L’État a le pouvoir de transformer le portrait énergétique des usines et des bâtiments, de mettre au pas les entreprises délinquantes et de mettre un accent fort sur le transport collectif. L’État a la force et le pouvoir, mais malheureusement il ne les utilise pas. Tous les partis qui se confrontent dans l’actuelle campagne électorale ont une trop grande proximité avec les lobbys pollueurs. Ils sont trop timides face aux pressions et au chantage. Leurs positions hautement insuffisantes, donc complètement irresponsables, sur l’enjeu de la crise climatique et le fait qu’ils soient tous déjà passés au prochain sujet en sont une démonstration flagrante. Face au comportement électoraliste de toutes les formations politiques au Québec, on peut déjà prédire que le résultat de la campagne mènera à un "copié-collé" des années précédentes. C’est-à-dire à un déni des décideurs face à l’urgence climatique qui ne fera qu’empirer les choses ».
Jean Cloutier a fait valoir : « Climat Québec veut révolutionner la politique québécoise en proposant une vision de la gestion de l’État où le bien-être collectif et celui de la nature priment sur la croissance économique qui, la plupart du temps, ne profite qu’à quelques-uns. Climat Québec s’engage à faire du Québec le premier pays pro-climat au monde. Le Québec possède les atouts pour réussir avec son électricité verte, son vaste territoire forestier, son expertise et le génie de sa population. Si on continue à se croiser les bras alors que les solutions sont facilement accessibles, comment pourrons-nous critiquer le manque de leadership ailleurs ? Il est temps d’opérer le changement de cap ».
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