« Notre force est notre expérience du terrain ; c’est ce dont les étudiantes et étudiants préfèrent de nos compétences. Notre Employeur veut nous limiter dans le nombre de cours que nous pouvons donner en nous discriminant en fonction de notre statut d’emploi. », a déclaré la présidente du SCCC-UQO, Marie‑Josée Bourget.
Par ailleurs, l’Université veut diminuer la rémunération pour certaines tâches : de 33 %, entre autres, pour la participation à divers comités universitaires. Ce qui est du jamais vu touche la diminution de la rémunération pour le travail syndical de 70 %. « Nous nous demandons si cette stratégie est pour ralentir le processus de négociation. Notre message à l’Employeur ne peut être plus clair : Ça suffit de ne pas nous prendre au sérieux et d’arriver avec des offres inacceptables. », de poursuivre la présidente.
À l’UQO incluant les campus de Saint-Jérôme et de Gatineau, les deux tiers des cours de 1er cycle et près de la moitié des cours du 2e cycle sont enseignés par les personnes chargées de cours. Un peu plus de 700 personnes y sont chargées de cours.