Ils adopteront, entre autres, des propositions visant à ouvrir un large débat public sur l’organisation politique, sociale et économique du Québec. Le président du conseil central, Paul Lavergne, explique : « Parce que de la qualité de vie de nos aîné-es en passant par l’éducation ou la conciliation famille-travail, le mouvement syndical doit faire partie des débats. Améliorer les conditions de travail est un objectif, vivre dans une société plus juste et équitable en est un autre. »
À l’ouverture du congrès, le président de la CSN, Jacques Létourneau s’adressera aux congressistes. Il traitera, notamment, des politiques de droite du gouvernement Harper, de son obsession dogmatique envers l’équilibre budgétaire et de la charge antisyndicale menée par plusieurs organisations.