« Le CN est arrivé à la table de négociation en demandant des concessions qui affaibliraient les droits et les conditions de travail de nos membres, a expliqué Lana Payne, présidente nationale d’Unifor. Notre mandat est clair : améliorer les conditions de travail de nos membres sans perdre les gains durement acquis lors des rondes de négociations précédentes. »
Moins de 24 heures après le commencement des négociations, l’employeur a compliqué la situation en annonçant au syndicat son intention de licencier au moins 65 membres d’Unifor.
« Que l’employeur nous annonce, en pleines négociations, qu’il va mettre des membres à pied est une manœuvre qui en dit long sur lui. Mon message au CN est très clair. Nous ne nous laisserons pas intimider par ces tactiques », a déclaré Lana Payne.
Unifor demeure résolu à conclure une convention collective équitable, qui reconnaîtra à sa juste valeur les contributions indispensables de ses membres au CN.
La section locale 100 et le Conseil 4000 d’Unifor représentent 3 600 membres qui travaillent dans les terminaux et au siège social du CN partout au Canada, comme techniciennes et techniciens de wagons, mécaniciennes et mécaniciens de véhicules lourds et de moteurs diesel, grutières et grutiers, machinistes, électriciennes et électriciens, mécaniciennes et mécaniciens du parc ferroviaire, ainsi que le personnel de bureau, d’administration et du service à la clientèle.
Pour obtenir de plus amples renseignements et des comptes rendus à jour, rendez-vous à www.unifor.org/fr/negociations-le-cn.
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