Les interventions du panel
Amir Khadir, ex-député et ancien porte-parole de Québec solidaire
Amir Khadir décrit la stratégie de choc et d’effroi de Trump et son impact sur les gens de la gauche. Il rappelle les failles dans la puissance de Trump et insiste sur les possibilités de s’opposer ouvertement à ses politiques et à son capitalisme extrême.
Karine Cliche, ex-candidate de QS dans Ste-Rose et initiatrice de QS-Parti de la rue.
Karine Cliche souligne que dans cette période de crise ce que doit faire la gauche c’est de convaincre que les changements importants doivent se faire et qu’on a toutes les raisons de les faire. Il est essentiel pour cela que la gauche prenne toute sa place.
Andres Fontecilla, député de QS dans Laurier-Dorion.
Andres Fontecilla constate que, dans son ensemble, le peuple québécois est inquiet face au changement du paradigme du capitalisme mondial. On assiste à une remise en question complète des politiques libre-échangistes. Une version raciste et colonialiste du capitalisme qui s’installe portée par la montée de l’extrême droite. Face à la crise de la gauche sociale-démocrate, nous avons besoin d’élaborer une nouvelle stratégie.
Josée Chevalier, ex-candidate de QS dans Laval-des-Rapides et militante CSN.
Josée Chevalier insiste sur le fait que Trump est un misogyne qui s’attaque aux droits des femmes. Ces attaques contre les femmes viennent de partout, y compris dans la société québécoise. Face à cela, il faut que Québec solidaire fasse preuve de combativité et qu’il donne toute leur place aux femmes si nous voulons briser le modèle patriarcal de la politique.
André Frappier, militant à QS Maurice-Richard et membre de Révolution écosocialiste.
Dans son allocution, André Frappier a souligné l’importance pour pour QS d’aller au-delà d’un électoralisme à courte vue. Il a également esquissé la nécessité pour pour la gauche d’une rupture avec le système tout en développant des alliances populaires pour combattre l’extrême droite et l’austérité.
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