Le contexte économique permet même au gouvernement d’aller de l’avant avec un soutien accru aux aînés et de déployer certaines promesses électorales.
« Globalement, ce qu’on comprend de cette mise à jour, c’est que les finances du Québec sont en bonne posture et que pour les années à venir, la croissance des revenus et des dépenses devrait être au rendez-vous. Il n’y a donc pas d’austérité à l’horizon. Il faudra maintenant s’assurer que ces rentrées d’argent serviront aussi à soutenir nos réseaux publics et à bonifier les conditions de travail pour attirer et retenir du personnel dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre.
En d’autres termes, nous sommes heureux de constater que le gouvernement, à la veille de déposer ses offres, n’a pas sorti les traditionnels épouvantails du déficit et de la dette. Le portrait est transparent. Il démontre la capacité du gouvernement à répondre aux besoins des travailleuses et des travailleurs en éducation, au collégial et en santé. C’est de bon augure pour notre négociation. Espérons que ce soit garant d’un véritable dialogue social pour la suite des choses », de déclarer le président de la CSQ, Éric Gingras.
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