Le porte-parole de la FPHQ a terminé la rencontre en mentionnant au comité patronal que nous avions l’impression d’un manque sérieux de communication entre la branche politique et la branche administrative du MSSS et du SCT, compte tenu de la teneur des échanges entre le premier ministre, monsieur Legault, et le président de la FPHQ le 21 avril.
Or, depuis cette courte séance de négociation du 29 avril, la FPHQ a appris de plusieurs sources patronales et gouvernementales, qu’il est véhiculé que nous n’avons aucune intention de négocier et que nous n’avons aucun intérêt à conclure une convention de longue durée.
Soyons très clairs, la FPHQ est ouverte à conclure une convention de n’importe quelle durée en autant que ses objectifs sont atteints. Elle reconnait avoir plusieurs objectifs importants et par conséquent, elle est disposée à avoir une convention de longue durée.
Ce à quoi la FPHQ n’a aucun intérêt, est de continuer à reporter l’atteinte de ses objectifs à plus tard, par la mise en place de multiples comités (repas, retraite, pénurie de main d’œuvre) qui n’aboutiront à rien comme le passé en témoigne. La FPHQ n’a aucun intérêt à conclure selon les termes du dernier dépôt patronal et se retrouver à attendre en 2025 ou en 2026 pour reprendre les négociations. C’est maintenant que ça se règle et nous sommes plus qu’ouverts à une longue durée.
On nous informe qu’il y aurait un ou deux membres du comité patronal qui véhiculeraient des informations erronées sur nos intentions à la branche politique. Que ce geste soit volontaire ou non, nous nous questionnons sur la légitimité de ce comité patronal et sa réelle volonté de régler.
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