« Les discussions n’avancent pas à la table de négociations. Malheureusement, l’employeur maintient sa demande d’avoir des quarts de travail de 12 heures. Nos membres ne veulent pas d’horaires de ce type, car ils veulent protéger l’important équilibre entre le travail et la vie personnelle », a déclaré Dominic Cordeau, conseiller syndical du SCFP.
Comme partout ailleurs, il y a un manque de personnel au Port de Québec et l’employeur, la Société des arrimeurs de Québec, veut faire porter le fardeau de cette carence sur le dos des débardeurs.
« Ce n’est pas en diminuant la qualité des conditions de travail que l’on va attirer plus de main-d’œuvre et les membres sont mobilisés à ce sujet », a ajouté le conseiller syndical.
Des rencontres entre les parties sont prévues en septembre. Le port de Québec est le plus ancien au pays et joue un rôle important dans l’économie locale.
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