« Cette administration ne veut pas régler et c’est dommage pour la population de Côte-Saint-Luc. Trois ans et demi sans contrat c’est honteux quand on sait que l’on a réussi à négocier ailleurs. C’est de la mauvaise volonté. On a l’impression que la négociatrice qui représente l’employeur n’a aucun mandat » a déclaré Chantal Racette, présidente du Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal.
Le syndicat des cols bleus de Côte-Saint-Luc ont en main un mandat de grève depuis le 4 février dernier. 93.5 % des travailleurs ont voté en faveur.
« Nous représentons 99 travailleurs permanents et auxiliaires dans cette ville. Ils rendent des services publics importants à la population. Un peu de respect de la part de l’employeur est de mise à ce stade-ci de la négociation » a ajouté la présidente du Syndicat.