« À la FTQ, nous sommes bien conscients qu’il faut maintenant se mettre à l’ouvrage. Nous sommes particulièrement satisfaits de la démarche proposée par la ministre, qui en est une de relations de travail et qui impose des délais réalistes », a déclaré le président de la FTQ, Daniel Boyer.
« Nous avons toujours dit que c’est à une table de négociation que cet épineux dossier devait être réglé et la ministre vient d’envoyer un signal clair à toutes les parties », a ajouté le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
« Nous comprenons que ces dernières auront deux années pour arriver à une entente satisfaisante de part et d’autre. Par ailleurs, ce processus sera soumis aux balises définies par des comités paritaires dans les secteurs privé, municipal et universitaire. Il sera donc très important d’encadrer cette démarche afin de permettre à toutes les parties d’y trouver leur compte, dans le respect mutuel et la bonne foi. Pour nos organisations, une entente négociée vaut mieux qu’un accord imposé », ont conclu les leaders syndicaux.