« Ça ne date pas d’hier que le Conseil de trésor ne priorise pas sa négociation avec le personnel de soutien de l’Aide juridique » explique Josée Désilets, présidente du regroupement. « On se questionne même par moment à savoir si nos vis-à-vis patronaux sont conscients de notre existence. Pourtant, il faut se le dire, sans nous les services d’aide juridique n’existeraient pas ! »
Parmi les différents enjeux liés à la négociation, comptons la formation, la charge de travail, la rétention, et la rémunération. Sur ce dernier point, il est à noter que les membres du regroupement gagnent moins que leurs collègues du privé, du municipal, et du fédéral.
Un message, un commentaire ?