« Après les tristes événements du 26 mars dernier devant l’Assemblée nationale, François Blais n’aurait pas pu mieux faire pour envenimer le climat ! On ne gère pas une situation comme celle-là en traitant les étudiant.es comme des enfants trop gâtés. Le désordre et l’instabilité ne sont pas les objectifs de celles et ceux qui font la grève. Notre jeunesse ne demande qu’à être écoutée, elle a une vision du monde à nous partager », a poursuivi Mme Massé.
Le ministre Blais doit ouvrir le dialogue avec les étudiant.es. « Au lieu de faire son travail, il pellette ses problèmes dans la cour des administrations universitaires. ll veut que ses anciens collègues du monde universitaire utilisent des mécanismes académiques pour expulser quelques boucs émissaires. Malgré les coupes en éducation et la crainte de voir leurs établissements en subir les conséquences, Québec solidaire invite les recteurs à faire preuve de jugement et à ne pas céder au bullying ministériel.