Québec, 28 octobre 2017 – Québec solidaire Capitale-Nationale incite le gouvernement du Québec à négocier sérieusement et de bonne foi avec les syndicats du secteur des CPE. Pour nous, les Centres de la petite enfance ont contribué largement à faire avancer l’égalité entre les femmes et les hommes dans la société québécoise. Ces travailleuses ont droit à des conditions de travail et de salaire dignes des services rendus à la population. Il est inacceptable que l’employeur, le gouvernement, exige des concessions sur le régime de retraite dans le but de l’affaiblir.
Par ailleurs, les enjeux de cette négociation touchent plusieurs conditions de travail qu’il est important d’améliorer. En plus des salaires, l’assurance-collective, les disparités régionales, les heures allouées à la préparation pédagogique doivent notamment être prises en compte.
« Nous sommes aux côtés de ces travailleuses qui permettent aux enfants du Québec de recevoir une attention exemplaire dans ces services publics inestimables. Nous ne les laisserons jamais tomber », fait valoir Monique Voisine, co-porte-parole de Québec solidaire Capitale-Nationale.
« La place des travailleuses au conseils d’administration et aux assemblées générales du CPE est un élément fondamental du fonctionnement démocratique de ce service public » a déclaré pour sa part Serge Roy, également co-parole de Québec solidaire dans la région de la Capitale-Nationale.
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