Les syndicats et les conseils régionaux de la FTQ se sont rapidement mis en action alors que des milliers de Québécoises et Québécois ont dû évacuer leur résidence en raison des incendies qui sévissaient à travers la province. « C’est dans ces moments-là, que le mot solidarité inscrit dans l’ADN de nos organisations syndicales, prend tout son sens. Des moments où plus que jamais, on a besoin de soutien de notre communauté. On parle des milliers de personnes qui ont dû quitter leur maison du jour au lendemain. Malheureusement, tout porte à croire que les changements climatiques provoqueront encore d’autres drames du genre. On va devoir se serrer les coudes collectivement pour se soutenir et surtout, tenter de limiter les dégâts par des politiques environnementales concrètes. », déclare Denis Bolduc, secrétaire général de la FTQ.
La Croix-Rouge a permis le déploiement d’environ 14 000 lits pour les centres d’hébergement, nourritures, vêtements, trousses de soins personnels pour les sinistrés, et plus encore. Par ailleurs, c’est plus de 6 000 heures de bénévolat qui ont été comptabilisées par l’organisme.
La FTQ tient à remercier particulièrement son réseau de déléguées et délégués sociaux (DS) qui ont été actifs sur le terrain dans toutes les régions du Québec pour soutenir psychologiquement et orienter les travailleurs et travailleuses touchées par les feux vers les bonnes ressources.
Un merci particulier aux travailleurs et travailleuses de la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), affiliés au syndicat UNIFOR qui ont été au front et qui le sont toujours puisqu’il reste encore quelques feux actifs, pour protéger la population québécoise.
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