« C’est le jour de la marmotte, déplore Julie Bouchard, présidente de la FIQ. Il faut mettre fin à ce retard une fois pour toutes ! Être un employeur de choix, ce n’est pas viser la moyenne ; c’est être au-delà de celle-ci ».
« Être moins bien payé que les autres, c’est fâchant. Si en plus, on vous force à faire du temps supplémentaire obligatoire, à travailler en sous-effectif dans des conditions pénibles, c’est insultant. C’est pourtant c’est ce que vivent les professionnelles en soins. Nous attendons le dépôt des offres patronales dans les prochains jours. Le gouvernement est mieux d’arriver avec des offres sérieuses et concrètes pour mettre fin à ce retard inacceptable. Il en va de l’avenir de nos services publics et du réseau de la santé et des services sociaux », termine Julie Bouchard.
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