« Notre message de cette année est simple, a déclaré Chris MacDonald, adjoint au président national d’Unifor. Le secteur des télécommunications fait partie intégrante de l’économie canadienne, et Bell a la responsabilité non seulement d’offrir de bons emplois bien rémunérés, mais aussi de maintenir la capacité nationale dans ce secteur. »
Les membres demandent d’obtenir des hausses salariales et de mettre fin à la stratégie concertée de Bell d’érosion des emplois par des processus comme la délocalisation et la sous‑traitance. Les services de soutien en santé mentale et la prévention du stress au travail sont également des axes prioritaires pour le personnel de bureau dans cette ronde de négociations.
« Alors que Bell affiche des bénéfices records, nos membres sont déterminés à réaliser des gains importants dans ces négociations », a déclaré Renaud Gagné, directeur d’Unifor pour le Québec. « Nos membres sont prêts à montrer une fois de plus à Bell à quoi ressemble un front uni alors qu’ils se mobilisent derrière leur équipe de négociation. »
Les négociations ont débuté par un échange de demandes entre le syndicat et l’employeur le mardi 15 février. Les pourparlers devraient se poursuivre la semaine prochaine, lesquelles durent généralement plusieurs semaines.
La convention collective précédente a pris fin le 30 novembre 2021.
Les négociations commenceront au cours des prochaines semaines pour plus de 15 000 membres, notamment les travailleuses et travailleurs de l’Atlantique et le personnel de bureau, ainsi que nos collègues de Bell Solutions techniques.
Le personnel de bureau de Bell est représenté au Québec par les sections 6000, 6001, 6002 et 6003 d’Unifor, et les sections locales 6004, 6005, 6006, 6007, 6008 et 37 en Ontario. Toutes les sections locales sont représentées au sein de l’unité de négociation.
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