« Au mois d’octobre, nous avions dénoncé l’obstruction systématique à laquelle les partis d’opposition semblaient se livrer lors de l’étude détaillée du projet de loi. Nous sommes satisfaits de constater que nous pouvons maintenant aller de l’avant », souligne Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ).
« Avec la création juridique du MESRST, on peut maintenant se pencher sur des enjeux plus importants. Pensons seulement aux réformes issues du Sommet sur l’enseignement supérieur, notamment la création d’un Conseil national des universités, le dépôt d’une Loi-cadre sur les universités ou le chantier de travail sur l’offre de formation collégiale », termine Mme Chabot.