« Nous comprenons que Loto-Québec fait face à des enjeux importants en raison de la pandémie de COVID-19, indique Guillaume Bouvrette, troisième vice-président du SPGQ et responsable de l’unité d’accréditation de Loto-Québec. Néanmoins, l’employeur n’a pas le droit de décréter unilatéralement de nouvelles conditions de travail contraires à la convention collective négociée de bonne foi par les parties. C’est illégal et surtout très irrespectueux envers son personnel. » Le SPGQ prendra tous les moyens à sa disposition afin de s’assurer que les droits de ses 470 membres soient respectés.
Finalement, c’est avec beaucoup de tristesse que le SPGQ a appris que l’employeur mettait fin au contrat de certains de ses professionnels surnuméraires et qu’il mettait à pied 2250 autres employés de son organisation. « Nous sommes de tout cœur avec eux », note M. Bouvrette.
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