« Le contexte est vraiment difficile ! Le ministre Barrette tient mordicus à l’adoption d’un projet de loi qui centralise les pouvoirs de décision entre les mains de conseils d’administration quasiment sous la tutelle du ministre. J’ai donc tenté d’amoindrir le choc en proposant des amendements qui :
– protègent les services et les budgets sociaux ;
– garantissent l’autonomie et la mission des organismes communautaires ;
– enracinent définitivement les réseaux locaux de services, ces partenariats entre les acteurs importants des communautés.
Nous continuerons à nous battre jusqu’à la fin pour sauver les meubles dans ce projet de loi globalement néfaste », de terminer Françoise David.