« Après des pourparlers intenses, les gains obtenus sont majeurs. Nous avons notamment réduit la mobilité sur le territoire du CISSS. Nos membres auraient été appelées à se déplacer sur des distances de plus de 80 km et nous avons freiné cette mobilité. Nous nous sommes également attaqués à la précarité d’emploi en agissant sur deux facteurs, la stabilité des équipes de travail et le rehaussement des postes. », déclare Jean-Michel Varin, président de la FIQ-SPSME.
En vertu des Lois 10 et 30, les parties devaient s’entendre au plus tard le 30 septembre prochain. Dans le cas contraire, l’intervention d’un médiateur aurait été nécessaire. « Mon équipe et moi sommes heureux d’avoir travaillé, malgré les délais serrés, pour agir sur des éléments importants pour les professionnelles en soins qui leur permettent de travailler tout en conciliant leur vie personnelle et familiale. Je suis convaincu que cette entente améliorera les conditions de travail de nos membres et je suis très fier de la mobilisation et de la solidarité dont elles ont fait preuve, tout au long de la négociation. L’équipe syndicale est très contente de la confiance que nos membres nous ont démontrée en votant en faveur de l’entente », renchérit Jean-Michel Varin.
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