« Il s’agit d’un moment crucial pour nos membres à CPKC, lesquels méritent des gains significatifs sur les enjeux qui leur importent le plus, a déclaré Lana Payne, présidente nationale d’Unifor. Lorsque nous avons entamé les négociations, nous étions prêts à résoudre les difficultés persistantes auxquelles nos membres font face, mais le faible sentiment d’urgence de l’employeur ne nous a pas laissé d’autre choix que de demander de l’aide par le biais du processus de conciliation. »
Des négociations ont été entreprises avec CKPC afin d’aborder des enjeux clés comme le droit exclusif au travail, la sécurité d’emploi et les mauvaises relations de travail qui ont gravement affecté l’environnement de travail. Malgré l’engagement d’Unifor à résoudre ces préoccupations, l’incapacité de l’employeur de s’attaquer à ces enjeux fondamentaux a poussé le syndicat à demander la conciliation.
« Nous continuerons d’exiger une résolution juste et respectueuse qui profite aux travailleuses et travailleurs et leur assure un avenir positif à CPKC, a-t-elle ajouté. Nous sommes prêts à poursuivre notre combat jusqu’à ce que la voix de nos membres soit entendue. »
Unifor représente plus de 1 200 travailleuses et travailleurs à CPKC, y compris des mécaniciennes et mécaniciens, des manœuvres, du personnel préposé à l’entretien des moteurs diesel, et du personnel de soutien mécanique. Le syndicat reste déterminé à conclure une entente juste et équitable afin de protéger les droits des membres et d’améliorer leurs conditions de travail.
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