Le nombre d’autobus immobiles est plus élevé en ce moment en raison d’enjeux de fiabilité des autobus, du peu d’entretiens préventifs et du climat difficile que nous connaissons cet hiver.
Le Syndicat déplore que l’employeur n’ait pas voulu négocier plus d’une dizaine de minutes hier en présence du médiateur.
Nous enjoignons la partie patronale à se rasseoir à la table de négociation, une solution étant à portée de main, plutôt que de tenter des manœuvres devant le Tribunal administratif du travail qui ne feront que nuire au bon déroulement des négociations qui s’étirent depuis bientôt deux ans.
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