« La Fédération autonome de l’enseignement accueille avec ouverture la nomination de madame Lebel. Ceci constitue une deuxième chance pour le gouvernement de mener à terme une négociation qui améliorerait les conditions d’exercice des enseignantes et enseignants. La FAE lui assure des échanges francs et honnêtes. Quant à monsieur Roberge, son maintien en poste contre vents et marées semble aussi constituer une deuxième chance, compte tenu des vives critiques pour sa gestion de crise pendant la COVID-19 par l’ensemble des acteurs du réseau, mais aussi pour sa réforme sur la gouvernance qui fera très mal au réseau des établissements scolaires du Québec dans les prochaines années », a déclaré Sylvain Mallette, président de la FAE.
La FAE salue d’ailleurs la nomination d’une femme dans l’un des postes-clés du gouvernement, qui gèrera l’un des dossiers touchant une grande majorité de femmes, soit le renouvellement des conventions collectives. Rappelons que près de 75% des membres de la FAE sont des femmes et que celles-ci demeurent majoritaires dans les services publics au Québec.
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