Les réseaux publics - l’éducation, la santé et les services sociaux et le collégial, sont des écosystèmes complexes où chacun a son rôle à jouer. Le Front commun rappelle que c’est l’ensemble des 420 000 travailleuses et travailleurs représentés par le Front commun qui sont concernés par les négociations du secteur public, et non pas uniquement certaines catégories ciblées par les priorités gouvernementales.
« Après l’immense manifestation nationale de samedi dernier et les assemblées générales portant sur un mandat de grève pouvant aller jusqu’à la grève générale illimitée qui ont actuellement cours, nous attendons des mouvements significatifs de la part du gouvernement qui se traduisent concrètement aux tables de négociation. Il faut que ça bouge ! À l’heure actuelle, on n’a même pas une base de négociation acceptable sur la table. Et on le répète, les attentes de notre monde sont grandes, conséquentes aux besoins et aux conditions actuelles dans lesquelles ils travaillent. »
Rappelons que le Front commun aussi porte des demandes pour tenir compte des problèmes aigus d’attraction et de rétention vécus dans certaines régions comme l’Outaouais. Pourtant, après près d’un an de négociation, ces demandes légitimes des travailleuses et des travailleurs restent aussi lettre morte.
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