La grève s’est imposée depuis que l’employeur a retiré ses offres salariales de 2% par année. De plus, Loto‑Québec a poussé l’audace jusqu’à demander des concessions sur l’utilisation de consultants, et ce, en plus du retrait des 2 journées de congé de maladie et du nettoyage des banques de congé de maladie.
Le volte-face sans raison apparente de l’employeur a forcé le SPGQ à déposer une plainte pour négociation de mauvaise foi auprès Tribunal administratif du travail, le 28 novembre dernier.
Le ministère du Travail a demandé aux parties de participer au processus de médiation‑conciliation. À cet effet, les deux parties se rencontreront lundi matin à 10h00 au ministère du Travail au 35, rue Port-Royal, à Montréal. Comme depuis le début de ces négociations, nous participerons en toute bonne foi à ces discussions. « Nous espérons que l’intervention d’une tierce partie éloignera l’employeur de sa volonté de retirer les offres qui étaient soumises et nous ramènera plus près d’une perspective d’entente satisfaisante propre à maintenir l’expertise interne de Loto-Québec. » conclut Richard Perron, président du SPGQ.
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