La motion adoptée stipule que :
« Que l’Assemblée nationale du Québec reconnaisse que le lockout décrété à l’aluminerie ABI a des impacts négatifs sur les travailleurs et travailleuses, sur l’économie de la région du Centre-du-Québec et de la Mauricie et sur l’économie du Québec ; que l’Assemblée nationale demande aux parties la reprise des négociations. »
« Ça envoie un message clair au siège social d’Alcoa à Pittsburgh, au siège social de Rio Tinto, à Londres. Nous espérons maintenant qu’ils donnent enfin de vrais mandats à leurs négociateurs pour trouver un règlement négocié », fait valoir le directeur québécois des Métallos, Alain Croteau.
Le président de la section locale 9700, Clément Masse, salue lui aussi l’adoption de la motion adoptée par les parlementaires de tous les partis confondus. « Cela montre que cet enjeu dépasse les partis et les allégeances politiques. C’est essentiel pour les 1030 familles touchées, mais aussi pour l’économie de la région et tout le Québec », fait valoir Clément Masse.
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