Réunis lors de deux assemblées générales tenues hier, les employés ont voté à 82 % pour cette entente conclue entre les deux parties le 19 septembre dernier. La dernière convention collective était échue depuis le 7 janvier 2018. Les syndiqués avaient voté au mois de mai dernier pour des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève.
Une des revendications majeures du syndicat auprès de la STM était de fixer des temps de trajets plus réalistes qui n’occasionneront pas de retard afin d’éviter que des usagers mécontents se défoulent sur les chauffeurs.
Sur cet enjeu, les parties se sont mises d’accord pour former un comité paritaire dont le but sera d’analyser les temps de trajet de tous les circuits d’autobus sur l’île de Montréal.
« Nous sommes satisfaits de cette entente. Nous avons retrouvé le respect », de déclarer Renato Carlone, président du SCFP 1983.
Cette nouvelle convention collective sera d’une durée de sept ans.
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