L’austérité a été repoussée. A la place de Syriza, on a Grillo (et le moins qu’on puisse dire c’est que ce n’est pas la même chose)
La crise italienne explose avec les élections du 25 février. Le favori des élections, le Parti Démocrate et le centre gauche, n’atteint pas les 30%, et obtient 120 mille voix de plus que Berlusconi qui démontre qu’il sait résister. Grace à la loi électorale qui attribue la majorité des voix à (…)