Telus n’a pas encore donné tous les détails sur la réduction de ses effectifs, sauf pour dire que la majorité des emplois seraient éliminés par l’entremise de départs volontaires et de retraites anticipées.
« Nous travaillerons très fort pour que soient priorisées les offres de départs volontaires et que l’impact sur nos membres soit réduit au maximum. Nous attendons plus de détails. Nos deux syndicats regroupent plus de 1500 membres à la grandeur du Québec, dont la moitié au siège social québécois de Rimouski », a indiqué Yannick Proulx, conseiller syndical pour les travailleurs de Telus.
Le syndicat souhaite que l’entreprise prenne en compte la polyvalence des employés au Québec et leur bilinguisme pour minimiser l’impact sur les ressources humaines québécoises.