La négociation dite de la « table centrale », qui portait principalement sur les salaires, a été menée sous l’égide de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ). Le second volet, dit des « tables sectorielles », concernait les autres conditions de travail.
« Les résultats de cette ronde de négociations sont un premier pas important dans la reconnaissance de l’expertise du personnel professionnel de l’éducation, qui est essentielle pour la réussite scolaire des élèves. Le combat est loin d’être terminé, il faut que la pratique redevienne attrayante dans les écoles publiques par rapport au secteur privé. Lors de son élection, ce gouvernement avait dit vouloir miser sur l’éducation. Les prochaines négociations seront un moment de vérité », selon Julie Tassé, présidente du Syndicat des professionnelles et professionnels Laval‒Rive-Nord (SPPLRN-SCFP 5222).
Le SPPLRN représente 940 membres professionnelles et professionnels de l’éducation provenant de 32 corps d’emploi répartis dans trois centres de services scolaires (des Affluents, de Laval, des Mille-Îles).
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