Au lieu d’avoir « peur » et d’avoir des « craintes » au lieu de se baser sur rien et d’avoir peur de l’inconnue. Si on lâchait nos crispations et qu’on se disait qu’il y a, là, la possibilité de faire de la politique qui brise le statu-quo, une politique de rupture.
Voici ce qu’on dit :
« Québec Solidaire c’est un parti, une organisation, qui s’est constitué dans cette idée de rassembler des forces différentes. (…) Toutes les sensibilités d’une gauche qui étaient jusqu’à présent extrêmement dispersées, fragmenté. »
« C’est quoi un parti processus ? C’est un parti qui n’est jamais statique, qui est toujours en mouvement et qui tente d’intégrer autour de lui le plus de force possible pour devenir de plus en plus capable de mener la lutte. »
« Ensemble on est plus fort, c’est à la base d’une politique de gauche. On est plus fort ensemble que divisé. »