Le CTC préconise plus précisément :
l’acceptation des conditions de base de 1990 et la prise d’un engagement à réduire les émissions. La réduction des émissions se calcule d’après le pourcentage d’augmentation ou de diminution des émissions par rapport à leur niveau de 1990. Le Canada a présenté des arguments contre le recours à l’année 1990 en tant que référence afin que les mesures positives des autres pays et notre inaction soient négligées et que l’année de référence mondiale soit 2006, même si tous les autres pays emploient 1990 ;
un engagement à financer l’adaptation des pays en développement au changement climatique, l’atténuation des effets du changement climatique dans ces pays et le transfert de technologie à ceux-ci ;
le renforcement des dispositions du texte de négociation actuel sur la transition équitable. La transition équitable permet aux possibilités économiques vertes de se matérialiser en créant des emplois verts et en maintenant des travailleurs et travailleuses en emploi.
De plus, le CTC incitera le gouvernement du Canada à agir, notamment en instaurant un régime de taxe sur le carbone cadrant avec le principe du pollueur-payeur et en investissant dans l’efficacité énergétique, l’infrastructure du transport ferroviaire et des transports en commun ainsi que l’énergie renouvelable propre et durable. (en apprendre plus)