« C’est quand même clair. L’offre n’est pas acceptable. L’enjeu principal est la sous-traitance à outrance et la délocalisation des emplois outre-mer. Vidéotron est une compagnie très profitable qui reçoit beaucoup de subventions des différents paliers gouvernementaux. Nous voulons nous assurer que Vidéotron redonne aussi à la communauté en créant et en gardant des emplois de qualité », de dire Nick Mingione, président du Syndicat des employé(es) de Vidéotron (SEVL-SCFP 2815).
Le syndicat réitère qu’il désire trouver des solutions aux besoins réels de l’employeur, mais également à ceux qui touchent l’ensemble des salarié(e)s.
« Nous avons contribué à la croissance et au développement de Vidéotron. Avec notre passion et nos efforts constants, nous avons réussi à fidéliser notre clientèle et à assurer la rentabilité de cette entreprise. Nous voulons que ça continue. Dans ce sens, nous retournons à la table de négociation pour pouvoir présenter une contre-offre rapidement », d’ajouter le président du SEVL.
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