Ce vote a été décidé à la suite des négociations de mauvaise foi de la part de l’employeur. La société d’État devra d’ailleurs se présenter au Tribunal administratif du travail (TAT) à la suite d’une plainte déposée contre elle par le SPGQ.
Les personnes professionnelles syndiquées de Loto-Québec refusent l’offre patronale ; celle-ci se limite à des augmentations dérisoires en échange de nouvelles concessions touchant l’utilisation de consultants à outrance et comme briseurs de grève. L’employeur doit également composer avec une plainte pour l’ingérence de ses cadres qui sont intervenus auprès des membres du SPGQ pour leur faire accepter l’offre patronale et discréditer le SPGQ.
Les expertes et experts de Loto-Québec travaillent, notamment, dans les secteurs des technologies de l’information, des communications, des ventes et du marketing, des finances, de l’approvisionnement et de l’immobilier, ainsi que dans le secteur juridique.
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