Édition du 12 novembre 2024

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Marx (1818-1883) et Engels (1820-1895)

Société civile, État, matérialisme historique et socialisme scientifique (Texte 5)

À première vue, le développement du capitalisme donne l’impression de produire une séparation entre la société civile (les rapports économiques) et l’État (les rapports politiques). Le développement de l’industrie (et des activités commerciales) semble reposer sur son propre dynamisme. La société bourgeoise se présente comme une somme d’individus atomisés à la recherche de l’atteinte de leurs fins personnelles.

L’idéologie de l’individualisme, qui se développe dans la foulée des travaux de John Locke et d’Adam Smith, est en contradiction avec la socialisation de la production et le développement du capitalisme. Dans les faits, l’égalité de tous qui est proclamée par l’idéologie libérale gomme une profonde inégalité. En règle générale, dans une économie capitaliste, ce sont les salariéEs qui sont à la merci des offreurs d’ouvrage (les employeurs) et rarement l’inverse. Chez Hegel, la société civile correspond à la sphère des besoins et des intérêts privés.

L’État conceptualisé par Hegel représente la « Raison ». Seul l’État est capable d’arracher les individus à leurs enracinements particuliers. En les intégrant à lui, il les hisse au niveau de l’intérêt général, c’est-à-dire de la volonté rationnelle. Marx reprend à son compte la dissociation qu’Hegel a mise en perspective entre la sphère économique et l’État. Par contre, il inverse la relation établie par Hegel. Alors que le philosophe idéaliste de la dialectique subordonnait la société à l’État, Marx, pour sa part, avance que la société civile est le fondement de l’État qui assure la cohérence de la société et le pouvoir de la classe dominante au sein de l’activité économique. Chez Marx, l’État apparaît comme une réalité exogène à la société civile, mais également instrument gestionnaire des intérêts généraux de la société civile.

Diplômé en philosophie[1], Marx est aussi considéré comme un historien et un économiste. À sa réflexion théorique originale, s’ajoute un volet d’homme politique[2] non traditionnel. Avec Friedrich Engels, il va formuler, dans La Sainte Famille et L’Idéologie allemande, les bases du matérialisme historique.

Dans un ouvrage polémique intitulé Misère de la philosophie, Marx remettra en question le socialisme « petit-bourgeois » de Proudhon[3]. Fin des années 1840, il décide de s’établir à Londres où il poursuit ses travaux et ses recherches en économie politique. C’est d’ailleurs dans ce pays où triomphe le capitalisme industriel[4] qu’il rédige Travail salarié et capital (1849), Contribution à la critique de l’économie politique (1859) et finalement, l’œuvre principale de sa vie, le premier tome du Capital (1867) ainsi que certains ouvrages marquants en historiographie : Les luttes de classes en France (1849-1850) et Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte (1852).

Marx fait des forces productives et des rapports sociaux de production la base de la société sur laquelle s’élèvent les superstructures juridico-politique (l’État, les tribunaux et l’armée) et idéologique (religion, philosophie et art) qui exercent une action en retour sur l’infrastructure économique et sociale. En se développant, les forces productives entrent en contradiction avec les rapports sociaux de production alimentant la lutte des classes qui oppose au sein du capitalisme la bourgeoisie et le prolétariat.

« Le résultat général auquel j’arrivai et qui, une fois acquis, servit de fil conducteur à mes études peut brièvement se formuler ainsi : dans la production sociale de leur existence, les hommes entrent en des rapports déterminés, nécessaires, indépendants de leur volonté, rapports de production qui correspondent à un degré de développement déterminé de leurs forces productives matérielles. L’ensemble de ces rapports de production constitue la structure économique de la société, la base concrète sur lesquelles s’élève une superstructure juridique et politique et auxquelles correspondent des formes de conscience sociale déterminées. Le mode de production de la vie matérielle conditionne le processus de vie sociale, politique et intellectuelle en général.

Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur être ; c’est inversement leur être social qui détermine leur conscience. À un certain stade de leur développement, les forces productives matérielles de la société entrent en contradiction avec les rapports de production existants, ou, ce qui n’en est que l’expression juridique, avec les rapports de propriété au sein desquels elles s’étaient mues jusqu’alors. De formes de développement des forces productives, qu’ils étaient, ces rapports en deviennent des entraves. Alors s’ouvre une époque de révolution sociale. Le changement dans la base économique bouleverse plus ou moins rapidement toute l’énorme superstructure. Lorsqu’on considère de tels bouleversements, il faut toujours distinguer entre le bouleversement matériel – qu’on peut toujours constater d’une manière scientifiquement rigoureuse – des conditions de production économiques et les formes juridiques, politiques, religieuses, artistiques ou philosophiques, bref, les formes idéologiques sous lesquelles les hommes prennent conscience de ce conflit, et le mènent jusqu’au bout.

Pas plus qu’on ne juge un individu sur l’idée qu’il se fait de lui-même, on ne saurait juger une telle époque de bouleversement sur sa conscience de soi ; il faut au contraire, expliquer cette conscience par les contradictions de la vie matérielle, par le conflit qui existe entre les forces productives sociales et les rapports de production. Une formation sociale ne disparaît jamais avant que soient développées toutes les forces productives qu’elle est assez large pour contenir, jamais des rapports de production nouveaux et supérieurs ne s’y substituent avant que les conditions d’existence matérielles de ces rapports soient écloses dans le sein même de la vieille société. C’est pourquoi l’humanité ne se pose jamais de problèmes qu’elle peut résoudre, car, à y regarder de plus près, il se trouvera toujours que le problème lui-même ne surgit que là où les conditions matérielles pour le résoudre existent déjà ou du moins sont en voie de devenir. » (Marx, Karl. 1975 (1859). Contribution à la critique de l’économie politique. « Préface ». Moscou : Éditions du Progrès, p. 4-5)

Marx entend aller au-delà de l’analyse de l’économie politique proposée par Ricardo. Il explique la formation de la survaleur (la plus-value) par l’exploitation de la force de travail de l’ouvrier. Chez Marx, le profit de l’employeur s’explique par le rapport de la plus-value sur le capital total.

Marx s’est montré curieux et intéressé par plusieurs des contradictions inhérentes au mode de production capitaliste (la baisse tendancielle du taux de profit, les crises périodiques de surproduction et la paupérisation accrue de la classe ouvrière). À son avis, ces contradictions ne peuvent faire autrement que de se résoudre par la transformation du capitalisme en socialisme (dans un premier temps) et en communisme (ultimement). L’appropriation collective des moyens de production sera l’œuvre du prolétariat organisé en classe révolutionnaire.

Socialisme scientifique et État selon Marx et Engels

Marx et Engels se sont donné comme objectifs de définir les bases du socialisme scientifique et de décrypter le caractère de classe de l’État moderne. L’oeuvre de Marx et d’Engels fourmille de remarques et de propositions au sujet de l’État et du pouvoir politique.

Même si la définition de l’État, chez ces deux auteurs, n’est pas évidente, nous savons tous que l’État est posé comme un "État de classe" ou un "État bourgeois"[5]. À cette conception de l’État instrument dévoué tout entier aux intérêts de la bourgeoisie, vient se greffer une autre représentation issue de la célèbre topique sociale esquissée par Marx[6].

Dans leurs analyses de l’État, ils définissent celui-ci comme un acteur quasi indépendant de la société[7]. À certains égards, l’État se confond avec le pouvoir politique, même si, ailleurs, on le présente comme un pouvoir politique bureaucratique qui étouffe la société civile[8].

À ces nombreuses conceptions de l’État, Engels a ajouté des précisions qui semblent toujours pertinentes. Rappelons qu’il a posé l’État dans un rôle de médiateur entre les classes sociales. Cette médiation que jouerait l’État permettrait d’assurer la domination politique de la bourgeoisie et de garantir les conditions propices à la reproduction du mode de production capitaliste. Ce pouvoir qui gère et produit la société veille aussi au maintien de la cohésion sociale.

En tant qu’instigateur d’ordre, il doit viser à limiter et atténuer les luttes inévitables en raison des antagonismes de classes[9].

Marx et Engels ont posé le pouvoir d’État à titre de pouvoir de domination, ce qui est tout à fait juste. L’originalité de leur démarche consiste à avoir essayé d’arrimer cette domination politique à la vie économique et à la puissance économique dominante. Dans l’analyse de Marx et d’Engels, le point de rencontre entre domination politique et vie économique porte plus spécifiquement sur les conditions que l’État doit maintenir en vue de garantir la réalisation de l’accumulation à travers les procès d’exploitation. Ils prônaient l’importance, pour le prolétariat, de s’organiser politiquement en classe révolutionnaire, avec pour objectif la réalisation de la révolution socialiste devant aboutir à l’enfantement de la société communiste.

Yvan Perrier

2 février 2020

Notes

[1] Après avoir fait des études en droit et en philosophie, Marx est reçu, le 15 avril 1841, docteur en philosophie avec une thèse intitulée La différence entre la philosophie de la nature chez Démocrite et Épicure. (Jacoud et Tournier, 1998, Les grands auteurs de l’économie, p. 130).

[2] Dès les années 1840, Marx s’engage dans l’action politique. Il est chargé (en 1847) de rédiger avec Friedrich Engels le Manifeste du parti communiste (1848). En 1850, Marx réorganise la Ligue communiste. Dans les années 1860, il participe à la mise sur pied de la Ière internationale dont il rédige l’Adresse inaugurale et les Statuts de l’Association internationale des travailleurs (1864). (Jacoud et Tournier, 1998, p. 131). Suite à des dissensions internes, la « Première internationale » cesse ses activités en 1872. En 1891, une IIe Internationale voit le jour. Devant le ralliement des partis sociaux-démocrates à des gouvernements d’union nationale pendant la Grande guerre et suite à la révolution bolchévique en Russie en 1917, une IIIe internationale est crée à Moscou en 1919. (Boncoeur et Thouément, 1994, Histoire des idées économiques. De Platon à Marx, p. 154).

[3] Proudhon venait tout juste de rédiger Misère de la philosophie.

[4] Rappelons ici « (qu’)entre 1800 et 1850, la production industrielle de l’Angleterre est multipliée par huit. Marx observe alors les crises économiques, qui se succèdent à répétition, le développement massif et les premiers efforts de syndicalisation ». (Beauregard, Henri, 2002, Économie et société : Fondements économiques de la vie en société, p.25)

[5] La perspective théorique la plus connue de Marx et d’Engels au sujet de l’État le présente comme l’instrument de la classe dominante."(L’)État n’est pas autre chose que la forme d’organisation que les bourgeois se donnent (...)", Marx et Engels. (1846). 1977. L’idéologie allemande. Paris : Éditions sociales, 1977, p. 129. L’État de classe est donc celui de la classe dominante économiquement : "L’État étant donc la forme par laquelle les individus d’une classe économiquement dominante font valoir leurs intérêts communs." Marx et Engels. Ibid, p. 130. Ce qui lui permet donc de transformer sa primauté économique en direction politique. Car, selon Engels, l’État est : "L’État de la classe la plus puissante, de celle qui domine au point de vue économique et qui, grâce à lui, devient aussi classe politiquement dominante." Engels, F. 1884. L’origine de la famille, de la propriété privée et de l’État. Paris : Éditions sociales, p. 180. Le pouvoir politique a tôt fait de devenir l’instrument des possédants. Les individus qui exercent le pouvoir politique font figure dans cette perspective, non pas de serviteurs, mais bien plutôt d’exécutants au service de la classe possédante. "Au fur et à mesure que l’industrie moderne développait, élargissait, intensifiait l’antagonisme de classe entre le capital et le travail, le pouvoir d’État prenait de plus en plus le caractère d’un pouvoir public organisé aux fins d’asservissement social, d’un appareil de domination d’une classe." Marx, K. (1871). La guerre civile en France 1871. Paris : Éditions s ciales, 1968, p.60. "La bourgeoisie, depuis l’établissement de la grande industrie et du marché mondial, s’est finalement emparée de la souveraineté politique exclusive dans l’État représentatif moderne. Le gouvernement moderne n’est qu’un comité qui gère les affaires communes de la bourgeoisie tout entière." Marx et Engels. (1848). Manifeste du parti communiste. Pékin : Éditions en langues étrangères, p. 35. Il ne saurait subsister de doute quant à la nature de l’État moderne. Il s’agit pour Marx et Engels d’un État de classe. État de la classe la plus puissante économiquement : la bourgeoisie. L’État moderne se confond avec les intérêts de cette classe ; à ce titre, il s’agit donc d’un État bourgeois dont les appareils sont non seulement au service de la bourgeoisie, mais aussi contrôlés par la classe dominante.

[6] Dans la préface de la contribution à la critique de l’économie politique, Marx écrit : "L’ensemble de ces rapports de production constitue la structure économique de la société, la base concrète sur laquelle s’élève une superstructure juridique et politique (...)." Marx, K. (1859). Contribution à la critique de l’économie politique. Moscou : Les Éditions du Progrès, p. 5. Ou, dans le Capital, il précisera : "C’est toujours dans le rapport immédiat entre le propriétaire des moyens de production et le producteur direct (...) qu’il faut chercher le secret le plus profond ; le fondement caché de tout l’édifice social et par conséquent de la forme politique qui prend le rapport de souveraineté et de dépendance, bref la base de la forme spécifique que revêt l’État à une période donnée." Marx, K. (1865). Le capital, livre 3. T. III. Paris : Éditions Sociales, p. 172. S’établit donc entre le politique et l’économique un rapport de causalité : l’instance politique découle des divisions qu’on retrouve au niveau de la division sociale du travail, donc au niveau économique.

[7] Cet État de classe prend en charge la société toute entière, "enserre, contrôle, réglemente, surveille et tient en tutelle la société civile" et comme "la machine d’État s’est si bien renforcée en face de la société bourgeoise (...) l’État semble être devenu complètement indépendant de la société." Karl Marx, cité par Pierre Birnbaum. 1985. "L’action de l’État, différenciation et dédifférenciation". In Madeleine Grawitz et Jean Leca. Traité de science politique. T. 3. Paris, Presses Universitaires de France, p. 654. L’État apparaît donc comme un acteur social central disposant d’une autonomie réelle qui confine presque à l’indépendance face à la société. L’État de classe gère la société, et, par ses règlements, il la produit.

[8] L’État en tant que forme particulière du pouvoir politique, propre à la domination politique de la bourgeoisie, est présenté chez Marx comme une "machine gouvernementale" (Marx, K. (1875). Critique du programme de Gotha. Pékin : Éditions en langues étrangères, p. 28) qui dispose d’un certain nombre d’institutions ; "Le pouvoir centralisé de l’État avec ses organes partout présents, armée permanente, police, bureaucratie, clergé, magistrature, organes façonnés selon un plan de décision systématique et hiérarchique du travail, date de l’époque de la monarchie absolue où il servit à la société bourgeoise naissante d’arme puissante contre le féodalisme." Marx, K. (1871). La guerre civile en France. Paris : Éditions sociales, 1968, p. 60. Ce pouvoir centralisé se constitue en pouvoir public et bureaucratique ; il se sépare de la société pour recouvrir l’ensemble du corps social : "Au fur et à mesure que le progrès de l’industrie développait, élargissait, intensifiait l’antagonisme de classe entre le capital et le travail, le pouvoir d’État prenait de plus en plus le caractère d’un pouvoir public organisé aux fins d’asservissement social, d’un appareil de domination." Marx, K. Ibid, p. 60.

"Ce pouvoir exécutif avec son immense organisation bureaucratique et militaire, avec son mécanisme étatique complexe et artificiel, son armée de fonctionnaires d’un demi-million d’hommes et son autre armée de cinq cent mille soldats, effroyable corps parasitaire qui recouvre comme d’une membrane le corps de la société française et en bouche tous les pores, se constitue à l’époque de la monarchie absolue, au déclin de la féodalité, qu’il aida à renverser. Les privilèges seigneuriaux des grands propriétaires fonciers et des villes se transformèrent en autant d’attributs d’un pouvoir d’État, les dignitaires féodaux en fonctionnaires, appointés, et la carte bigarrée des droits souverains médiévaux contradictoires devint le plan bien rempli d’un pouvoir d’État dont le travail est divisé et centralisé comme une usine." Marx, K. (1852). 1976. Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte. Paris : Éditions sociales, p. 124-125. Ainsi donc, la mise en place d’une force intégrée commandée par la division de la société en classes donne naissance à une force publique répressive sous le contrôle de l’État (armée, police et autres institutions répressives). À ces institutions répressives s’ajoutent les institutions administratives (fonctionnaires).

[9] Sur ces questions, Engels écrira : "L’État n’est donc pas un pouvoir imposé du dehors de la société, il n’est pas davantage "la réalité de l’idée morale", "l’image de la réalité de la raison", comme le prétend Hegel. Il est plutôt un produit de la société à un stade déterminé de son développement : il est l’aveu que cette société s’empêtre dans une insoluble contradiction avec elle-même, s’étant scindée en opposition inconciliable qu’elle est impuissante à conjurer. Mais pour que les antagonismes, les classes aux intérêts opposés, ne se consument pas, elles et la société, en une lutte stérile, le besoin s’impose d’un pouvoir qui, placé en apparence au-dessus de la société, doit estomper le conflit, le maintenir dans les limites de "l’ordre" ; et ce pouvoir, né de la société, mais qui se place au-dessus d’elle et lui devient de plus en plus étranger, c’est l’État." Engels, F. (1884). 1974. L’origine de la famille, de la propriété privée et de l’État. Paris : Éditions sociales, p. 178. "L’État moderne n’est à son tour que l’organisation que la société bourgeoise se donne pour maintenir les conditions extérieures générales du mode de production capitaliste contre les empiétements venant des ouvriers comme des capitalistes isolés." Engels, F. (1877). 1973. L’anti-Duhring. M. E. Duhring bouleverse la science. Paris : Éditions sociales, p. 315.

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Yvan Perrier

Yvan Perrier est professeur de science politique depuis 1979. Il détient une maîtrise en science politique de l’Université Laval (Québec), un diplôme d’études approfondies (DEA) en sociologie politique de l’École des hautes études en sciences sociales (Paris) et un doctorat (Ph. D.) en science politique de l’Université du Québec à Montréal. Il est professeur au département des Sciences sociales du Cégep du Vieux Montréal (depuis 1990). Il a été chargé de cours en Relations industrielles à l’Université du Québec en Outaouais (de 2008 à 2016). Il a également été chercheur-associé au Centre de recherche en droit public à l’Université de Montréal.
Il est l’auteur de textes portant sur les sujets suivants : la question des jeunes ; la méthodologie du travail intellectuel et les méthodes de recherche en sciences sociales ; les Codes d’éthique dans les établissements de santé et de services sociaux ; la laïcité et la constitution canadienne ; les rapports collectifs de travail dans les secteurs public et parapublic au Québec ; l’État ; l’effectivité du droit et l’État de droit ; la constitutionnalisation de la liberté d’association ; l’historiographie ; la société moderne et finalement les arts (les arts visuels, le cinéma et la littérature).
Vous pouvez m’écrire à l’adresse suivante : yvan_perrier@hotmail.com

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