Manifestement, de plus en plus de politiques répressives sont instaurées pour décourager et démotiver toutes formes d’opposition et de contestation devant les décisions prises par les gouvernements.
Ce phénomène est de plus en perceptible au Canada, de même qu’au Québec : trop souvent nos gouvernements appliquent des mesures de contrôle abusives et antidémocratiques afin de réprimer la liberté d’expression qu’exercent les citoyens en prenant la rue.
Le droit à la dissidence, à penser une idéologie différente, à être en désaccord avec nos dirigeants : ce sont justement nos droits fondamentaux, et non nos privilèges. Voilà ce que nous revendiquons.
C’est donc en réaction à la répression croissante et aux récurrents abus des forces de l’ordre que des citoyensNES se sont réunies pour fonder l’Organisme de Défense des Prisonniers-ères politiques.
L’ODPP hurlera sur toutes les tribunes que la dissidence n’est pas un crime et promet d’être présent sur le terrain des luttes sociales, syndicales et politiques afin de protéger le droit citoyen à manifester.
Nous vous invitons a être présentE à la soirée de lancement de l’organisme, ce soir, 5 mars, à 20h, au bar les Katacombes, sur St-Laurent à Montréal.
Divers mouvements politiques, sociaux et syndicaux seront présents.
Voir pièce jointe.
Pour plus d’information, consultez notre site web : http://odpp.webs.com/